Cet article analyse les fortunes italiennes du Cyrano de Bergerac, d’Edmond Rostand, dès la première traduction du texte (1898, par Mario Giobbe), et les raisons de la (relative) faillite de la seule traduction qui ait essayé de détrôner celle-ci (Franco Cuomo, 1981). Une troisième version (2009), par Cinzia Bigliosi Franck, fait l’objet d’une analyse moins serrée, sa portée sur le système littéraire italien restant à évaluer. Tour à tour, les raisons textuelles, ainsi que des questions liées à l’horizon d’attente des lecteurs italiens et, plus en général, économiques et éditoriales, sont prises en compte pour fournir une représentation exhaustive de la translation littéraire du texte rostandien en Italie.
Une faillite pour l’anti-canon? Les trois Cyranos italiens
F. Regattin
2011-01-01
Abstract
Cet article analyse les fortunes italiennes du Cyrano de Bergerac, d’Edmond Rostand, dès la première traduction du texte (1898, par Mario Giobbe), et les raisons de la (relative) faillite de la seule traduction qui ait essayé de détrôner celle-ci (Franco Cuomo, 1981). Une troisième version (2009), par Cinzia Bigliosi Franck, fait l’objet d’une analyse moins serrée, sa portée sur le système littéraire italien restant à évaluer. Tour à tour, les raisons textuelles, ainsi que des questions liées à l’horizon d’attente des lecteurs italiens et, plus en général, économiques et éditoriales, sont prises en compte pour fournir une représentation exhaustive de la translation littéraire du texte rostandien en Italie.File | Dimensione | Formato | |
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